Le nightmare

Dans une petite ville cotière près de la france, durant la nuit, un grand bateau noir au voile rouge entrait dans la crypte repliant ses voiles et envoyant ses cannot à la mer. L'ancre jetée les canon commencaient à faire gronder leurs bouches, envoyant leurs projectile sur les bâtiment de la ville. Dès que les marins furent arriver au sol, ils commencèrent à tuer les villageois sans peine. Que se soit par leurs épée ou par leurs mousquetons il mettais tout le monde à mort. Entrant dans chaque maison afin de les débarasser de tout leurs bien de valeurs. Si quelqu'un avait pris le temps de remarquer le navire qui les assaillaient ils auraient pu remarquer l'auteur de tout cela, le capitaine Raphael Sorel. De sans froid il écoutait les cris parvenir du village tou en fredonnant une petite mélodie en travers des canons qui hurlaient: "yo-o, yo-o sabre et tête de mort..." Avec préstence sur une rampe du bâteau , accrocher au cordage il apréciait cette petite brise de vent qui trans portait l'odeur de la mort avec elle. Il obervait le rivage et les habitations qui s'écroulait sous ses projectiles. Il se sentait fier, il se sentait bien, Il se sentait puissant. Alors que tout le monde croyait que s'était le pire qu'il pouvait leurs arriver, deux autres bâteau accostère près du nightmare. Leurs canons se joignire aux concert déjà amorcer. Fesait vibrer par une sonate de coup de tonnerre la ville qui d'habitude est si traquille...

*Le destin, roue sans fin du temps qui ne cesse jamais de se dérober au yeux de ses serviteurs. Sa main est longue et guide mes pas à travers ce monde. On dit chez moi, dans des terres lointaines que le dieu du destin ne fait et n’impose jamais rien sans aucune bonne raison. *

Le souffles des projectiles projetaient un vent poussiéreux et noir, fessant virevolter les long cheveux brun d’une magnifique jeune femme. Celle-ci était petite et mince, jeune et innocente, légerte comme la brise et belle comme la rose. Elle avait de jolie forme, de jolie petite fesse et de jolie petit sein naissant. Cette jeune femme était une demi-race du nom de Anabella. La belle regardait la scène macabre qui se déroulait devant ses yeux, sachant que bientôt les assassins arriverait jusqu’à elle et comme les autres n’hésiterait pas à la tuer. Elle sentait l’impuissance l’envahir et le remord d’avoir rien fait la submergé .

Instinctivement, son regard se porta sur la navire, se fixant sur l’homme responsable. Anabella avait les larmes aux yeux, sa tête bougeant de droite à gauche (non). Son regard était pénétrant, hypnotisant et étrange. Elle entrelaça ses mains comme si elle fessait une prière silencieuse. Mais de ces mains entrelacés se mit à illuminer une lumière étrange. On aurait dit que c’était un ange.

-ciel et mer seront ennemie. Dieu et terre ne seront point allier au navigateur de Poséidon. Ceux qui pille seront à leur tour piller.

Murmura-t-elle

Alors que les hommes avancaient dans leurs pillage deux d'entre eux apecurent la jeune femme qui éclatait de lumière. Un regard fut suffisant il passèrent comme si ils l'avaient pas vu puis un des deux se placa en face d'elle et l'autre alla lui donner un violent coup de garde en arriere du crane. Ils penssait évidament à une seule chose, leur capitaine serrait heureux d'avoir une si jolie jeune demoiselle sous ses draps. Il était évident qu'ils voyaient très peu de jeune fille dans la couche du capitaine ou les dernières ils les avaient vu couler avec un boulet aux pieds.

La lumière est signe d’espoir et d’espérance dans les ténèbres, il ne lui fallait rien de plus que celle-ci pour lui réchauffer le cœur de son désespoir en ces lieux. Aussi surprenant que cela soit, elle vue bien avant que les pirates approchent leurs arrivées. Elle en tremblait déjà de peur, mais elle essayait de rester concentré sur la lumière. Oublier le monde présent, il devait y avoir seulement la lumière.

Son cœur se mit à accélérer, ils étaient là, et ce qu’elle avait vu sera. Elle ferma les yeux, respirant doucement, espérant qu’elle ne se trompe pas. Bella savait pourtant très bien que jamais elle ne se trompait. Au moment où les deux pirates venir en avant d’elle, la peur était forte, son corps son âme ne put résister plus longtemps elle ouvrit les yeux pour les plongés dans l’homme en avant d’elle. Il ne suffit d ce simple regard pour voir en lui. Un air surpris s’afficha sur son visage. Ses yeux était terrifiant, sans vie. On aurait dit qu’elle pénétrait et de sondait de l’intérieur, violant les secret intimes les moins enfouis.

-croire qui avoir n’est pas avoir qui croire.

Ce fut à ce moment là qu’elle reçut le coup sur le crane, sa chevelure vil voltant au gré de ce choc et son jolie corps tomba vers l’avant pour aller arrêter sa chute sur le sol. Son bras recevant presque tout l’impact.

Ensuite les hommes la trainairent jusqu'au canot en même temps que le autres revenaient, laissant la ville dans le noir et le désespoir. Tous rejoignit le navire sans peine, puis ils s'activèrent déjà à quitter la crypte. le capitaine ordonna au deux matelots de la porter de son lit moelleux dans sa cabine, se qu'il firent puis il les tuas de sans froid.

-J'aimerais que quelqu'un m'écoute sur ce navire! J'avais préciser pas de prisonier et pour comble ces deux idiots nous on ramenner une femme innocente! La prochaine fois que quelqu'un me désobéit il aura le même sort qu'eux! Espérons qu'elle nous porteras pas trop malheur, et si c'est le cas, elle iras rejoindre les épaves au fond de la mer! hahaha!

Raphael retourna a son poste et dirrigea ses hommes durant quelques heures. Ensuite il fit porter une belle robe munit d'un mot dans sa cabine à l'intention de la jeune demoiselle."Ce soir, que vous le vouliez ou pas vous manger avec moi. Soyez asser digne pour vous mettre belle! Le capitaine" La robe était toute de soie rouge et noir avec des décorations mauve, une robe de très haut prix. Il va sans dire que Raphael attendait la dame dans la salle à manger qui contenait une grande table remplie de nourriture et des chaises.

La chambre du capitaine était plutot spacieuse. Elle contenait plusieurs bureau, une table de travail avec une chaise et un gand lit à plusieurs couvertures très chaudes et douillette. Contrairement au dortoir qui eux était rempli de hamacs sales et crasseux.

Ses yeux s’ouvraient peu à peu dans un décor qui lui était inconnu, un décor luxueux lui rappelant son statut. La belle se cala dans les douces couvertures, ayant un faible murmure de plaisir. Cela fessait si longtemps qu’elle ne s’était couché dans un lit si confortable. Elle s’étira doucement, frottant sa tête encore douloureuse pour par la suite sortir du lit avec délicatesse.

Pendant un bref moment, Anabella admira la cabine, quand soudain elle remarqua la jolie robe. Elle sent approcha. Celle-ci était si jolie et ressemblait énormément à celle que bien souvent portait la reine de son pays. La voyante se regarda, elle était sale.. Sa jolie robe qu’elle portait n’était plus que tissus couvert de boue.

Cela ne tarda pas que la robe soit sur Anabella, mais soudainement le souvenir des hideux pirates lui revernirent en mémoire, sentant dès à présent les mouvements du navires. Elle ravala sa salive péniblement, reprenant sa respiration. Revoyant sa vision, celle qu’elle avait vu dans les yeux de l’homme. Une épée tranchant un homme en deux, se retournant contre lui.

-croire qui avoir n’est pas avoir qui croire¸

se répéta-t-elle. voyant le mot du capitaine. Prenant une bouffé d’air, plaça ses cheveux avec deux jolie stresses et sortant de la cabine, laissant ses pas être guidé par la main capricieuse du destin qui la conduit rapidement jusqu’à l’endroit où le capitaine entendait sa venu.

Elle y pénétra doucement. Elle était belle quoique un peu sale dans le visage dû au fait qu’on l’ai traîné sans délicatesse. Celle-ci lui allait à ravir, montrant la finesse de ses formes encore si jeune. On aurait dit qu’elle avait à peine 15 ans, mais sur visage apparaissait des traits elfiques.

Dans le couloir de navire il y avait cinq portes celle a deux battants au bout du couloir était celle qui assurais l'accès au pont. Celle d'ou elle vennait étais, quand l'o sortais le la pièce, la première sur la gauche. La deuxième était la salle à manger du capitaine. La première sur la droite était les doirtoirs des matelots qui mennait aussi au dépot d'armes et au cachots. La deuxième sur la droite était la salle a manger des marins ou se trouvait plusieurs table sérrée avec des banquettes, un accès au cuisine qui elle avait un accès au garde manger du bateau.

Quand il la vit entrer, il la fixa point, il observait la mer par une maigre fenêtre. Il tourna lentement son regard vers elle, il était de glace. Deplus ses yeux océan voulaient qu'on se noient à l'intérieur. Il soupira puis se leva et s'avanca afin de lui tirer une chaise.

-Je vous en pris. Je vois qu'elle vous va à merveille, c'est bien cela lui donne encore plus de valeur.Vennez vous assoir, il avait un ton doux et une voix grave, Veuillez excuser mes hommes pour si peux de délicatesse, en fait vous ne deviez pas être ici. Il m'ont désobéis mais croyez moi, il ne recommenceront plus. Vous pouvez vous servir.

Il alla s'assoir et l'observa un moment. Il n'avait ni le ton ni le comportement d'un pirate mais il restait terriblement imposant. Il rabattit ses cheveux blonds vers l'arrière. Sur la table il y avait du poulet, du boeuf, du porc, du pain et du fromage de toute sorte et une gamme de vin délectable avec du rhum.

Anabella était terrifier de se trouver dans tel navire, en compagnie de cet homme dont elle avait observé la silhouette Doucement, elle se dirigea vers la chaise que celui-ci lui avait tendis et s’y assoie.

-Cela est normal, nul mort de revient de l’autre monde.

La belle alla porter son regard dans les yeux froids l’homme. Ses yeux étaient si pénétrant, on aurait dit que son simple regard lisait en vous. Pourtant ceci n’était loin d’être une illusion, car la belle cherchait belle et bien à entré dans l’esprit de l’homme. Mais le noir persistait dans son esprit, elle voyait si peu de chose…

-je suis navré de ne point accepter votre offre de nourriture. Ce n’est pas pour contester notre générosité, mais je suis pas habituer au mouvement du navire.

Elle fit une courte pause, fermant les yeux, ravalant sa peur encore et encore. Elle passe doucement une main dans sa longue chevelure. Il y avait en ce navire autre chose qui la terrifiait, une autre présence que ces pirates. Une autre chose qui à l’évidence elle était seul à entendre. Elle attendait les murmurent des morts à la fois pirates et victimes. Quelques uns criait vengeance, d’autre à l’aide. La belle respirait de plus en plus rapidement. Ses yeux changeant peu à peu devenant plus pâle.

- Croyez-vous au esprit messire le pirate?

Il s'avanca vers elle avec un sourire qui tournait légèrement à la démence. Il lui dit d'une voix doucereuse et grave.

-Biensur, il y en a plein sur ce navire...des âmes perduent. La mienne d'ailleurs fait partit du lot. Je suis mort autre fois et j'ai réssuciter plus fort et plus puissant. Me voila aujourd'hui a avoir tout ce que je désire. Ce n'est pas une illusion, c'est les âmes des faibles qui anime ce navire.

Il était très sérieux, il l'obervait toujours le regard de cette femme parru fouiller en lui un moment. Elle voulait peut-être explorer l'étandu de noirceur et de péché qu'était cet homme. En tout les cas, cela ne serais point à lui que cela feras mal mais à elle. La seule chose qui redoutait c'était son passé, mais pas tout son passé, juste la partie qui concerne Amy. Il pensait toujours à elle et détestait ce rapeller qu'elle était probablement en vie avec quelqu'un d'autre. Elle avait surment des enfants et couchait surment tout les soirs avec un autre homme. Cela mettait tellement en rogne le pirate qu'a ces moments il devenait brutal, sanguinaire et surtout intouchable...

Elle entendait tant de voix, il en avait tellement qui criait sans cesse. Mais soudainement, comme apeuré les esprits se turent car le grand capitaine se mit à parlé. Elle le regarda approché, reconnaissant ce sourire qu’elle avait su souvent. Celui de la démence Plus il s’approchait d’elle, plus elle sentait son énergie, plus elle sentait une haine sourde et enfuit en lui.

-non capitaine, vous faites erreur, elle n’est pas là. Vous l’avez laissé entre ses mains.

Anabella sourit, elle était en ce moment si mystérieuse, si attirante et surtout entouré de mystère. Doucement elle se leva, levant ses yeux vers lui.

-Le destin a voulu que la vie vous soit rendus, mais elle a amené avec elle votre âme ou plutôt votre cœur.

Elle lui tendit la main.

- Je me nomme Anabella

Le capitaine la regarda, devenant noir et soudainement replier dans ses ténèbres. Il l'observa se lever tandis que lui se calla dans sa chaise. Il l'observa lui tendre la main mais il ne la pris point. Il ne toucherais certainement pas à quelqu'un dont la présence n'est aucunement nécessaire dans le navire. Il répondit séchement.

- Capitaine Raphael Sorel. Veuillez m'excuser mais mes taches m'apelles. Avez vous besoin que je vous racompagne à la porte? Ho! et si je vous prends à fouinez dans MON navire vous ne reverrer jamais la couleur du jour. Suis-je clair?

Il se leva brutalement. Il se dirrigea vers l'unique sortie et claqua la porte. Dans le fond il ne voulais que par la derniere question en faire un clair avertissement pour la jeune dame. Il n'amais pas que quelqu'un lui dise la vérité, il préfèrait de loin un beau mensonge à une cruelle vérité...

Anabella sursauta ne pouvant plus cacher sa peur. Son visage l’avait clairement exprimer.

-Navré je ne voulais pas…je vais retourner la où je me suis réveiller. Ce sera l’endroit le plus sur pour la tempête à venir.

Elle baissa légèrement la tête, une larme de peur coula au sol. La voyante frisonnait de peur, elle se sentait si tourmenté.

-je suis désoler dit-elle en elfique

Avant de partir rapidement de la cuisine pour aller s’enfermer dans la cabine et se jeter sur le lit comme ferait une enfant en pleure. Elle laissa libre cour à son chagrin, jurant en elfique, priant en cette langue son dieu. Regardant au sol ses cartes de tarot.

Elle ressemblait tant à un enfant qui avait grandit trop vite. Une fillette fragile et étrange qui voyait ce que nul ne pouvait voir. Elle avait si mal, il y avait tant de murmure dans ce navire.

Quand il l'entendu s'enfuir dans sa chambre il se figea. Non pas de honte, ni de désolation mais bien parcequ'il n'avait jamais entendu depuis Amy une jeune fille pleurer. Il ravala sa salive et observa la porte de sa cabine.

*Pourquoi irais-je la rejoindre, c'est stupide, c'est juste une gamine qui pleure.*

Mais il avanca tout de même jusqu'à sa porte pour l'écouter un moment.

*Elle ne voudra pas me voir ça c'est clair mais je doit lui parler je ne peux la laisser comme ça, je vais la consoler*

Il entra dans la pièce le regard doux et un tant soit peu mal à l'aise avec cette situation. Mais il revit Amy en train de pleurer alors il aprocha du lit. À son grand chagrin il découvrit point Amy mais cette jeune femme. Il s'assit sur le lit.

-Je suis désolé, j'ai été trop loin. Veuillez me pardonner mlle Anabella.

Au fond son âme était mauvaise et noire mais il était au moins bien élevé.

Le esprit mauvais ne se taise jamais réellement, ce ne sont que des apparences sans fin. Anabella les voyait déambuler dans la chambre comme si rien n’était, comme si ils étaient encore chair. Soudainement, il était le grand et imposant capitaine du navire, les esprit se retournait sur son passage, d’autre l’attaque de leurs poings immatérielle, d’autre tout simplement fuyant. La belle essaya de ravaler ses larmes, reprenant son souffle.

-vos navré ne vienne pas du fond de votre cœur, mais de la pitié humaine qui vous habite. J’ai peur terrible peur… Je vois des choses que les autres vois pas messieurs le pirate. Vous dites croire au esprit. Je les vois…pour la plupart des pirates, mais il y aussi des gens ordinaire… puis-je lire votre main.

Anabella s’était assise sur le lit et le regardait.

Il n'en revenait pas, il vennait s'excusé et elle ne trouvait rien de mieux a dire qu'il n'était pas sincère. Cela ne lui s'uffisait pas, elle voulait sa main en plus! Il n'y avait pas trente-six facon de lui donner. Il était clair qu'il ne voulais point s'y défaire.

- Heu! je sais que je n'ai pas vraiment été correct mais me trancher la main pour vous la donner es-ce pas un peu trop radical mlle? Voyez vous j'en ai encore de besoin, au risque de vous déplaire, je ne peux aquièscé a votre requête.

Il étais biensur sarcastique. Pourtant, il continua sur ce ton plaisantin et plutot narquoi.

-D'ailleurs, je peux vous assurer que je n'ai trancrit aucun texte dans mes mains. Je n'ai aucun marquage au fer rouge non plus. Elle sont nettes, un peu rude à force de jouer dans les cordages, mais soignée tout de même.

Il lui tendis tout de même ses paumes, prêt à lui lancer une grimace...

Le pirate tendis ses paumes à la mystérieuse voyante. La belle saisit la main droit et la regarda d'un regard étrange et sans vie.

-votre vie est pavé d'épreuve sans fin, de mort et de thrahison. Destin et vie se croise à de nombreuse reprise. De grand événement vous arrivera et pas bien des fois vous aurez le choix entre la vie et la mort. Mais une chose est étrange, votre de vie même avec ces nombreuses interférences est longue.

Anabella prit un regard perplexe, caressant doucement la paume du capitaine, ayant encore quelque larme qui finissait de tomber de ses jolie joues blanche. Doucement, elle lacha ces paumes, les esprits murmurant à son esprit que celui-ci serait aussi son bourreau à elle. La voyante repris peu à peu sa respiration. Allant prendre l'autre main avec hésitation. La main gauche, celle du diable, celle du passé...

Elle la prit doucement, hésitant,regardant la paume en caressant de ses jolies doights de demi-race celle-ci. L'image de la mort apparut en son esprit. L'une des lignes, prolongement de celle de la vie sur la main droit était en une endroit coupé ou plutôt d'une extrème paleur.

-vous aviez donc raison, vous avez passé très proche de la mort, très proche... mais en échange de cela, en échange de celui qui vous a brisé à cet ultime moment, vous l'avez tué... n'est-ce pas...je sens t'en de haine en vous.

Par ça manière de faire, il était impossible de douter un instant de plus que cette gente demoiselle demi-race était en effet une voyante. Le fait que celle-ci attende les esprits et qu'elle savait également lire dans la paume des mains le prouvait très bien.

L'homme l'observa douteusement jusqu'à sa dernière parole. Il ne savait pas vraiment quoi penser. Il est vrai qu'une voyante c'est très utile pour lui. Une chose était sure, il ne comptait pas la tuer.

* Bien pour moi une voyante serais aprécier sur ce navire. Elle pourrais s'avérer très utile. Même si je le voudrais je ne pourrais la tuer, elle n'est pas comme les autres.*

- Que celui qui n'a jamais péché me lance la première pierre. Je ne pouvais faire autrement. Il a gouter a sa propre médecine. Quelqu'un qui punis l'amour ce doit d'être punis a son tour. Mais ne parlons plus de cela car je doit avouer que c'est encore très souffrant a mon âme d'entendre le passé alors laisson le passé ou il se trouve.

Il s'aprocha d'elle doucement et lui fit une encolade contre son corps musclé. Il le fit avec précaution car il savait qu'elle pourrait être effrayer de ce contact. D'ailleurs même lui ça l'effrayais et il se demandais pourquoi il étais aussi mou avec elle mais la tenir contre lui, lui fesait beaucoup de bien.

- Peu importe ce que vous penser de moi, je ne veux et je ne vais pas vous tuer. Je le jure son mon honneur et sur mon âme. Jamais je ne vous turai de plein gré et je n'autoriserai aucun de mes hommes à lever la main sur vous.

Anabella, trop apeurés, s’éloignant de lui, quand celui vient lui faire une accolade. Elle ne pouvait tout simplement pas. Cet homme n’était pas bon, cet homme n’était pas normal, tout comme sa famille, tout comme son navire, le cœur de cet homme était remplis de haine. La belle respira doucement, se leva, pour s’éloigner de lui, l’air effrayé.

-l’amour dit-vous… en êtes-vous sur? Est-ce vraiment le doux sentiment de l’amour ou le feu du désir mortelle de la chair. Ils sont si facile à confondre messire le pirate. Mais le passé ne peut jamais être enterré ,il te hante sans cesse pour que à jamais les souvenirs de jadis perdure.

La voyante soupira, allant ramasser ses cartes de tarots.

- vos mots, vos promesses sont si vague et imprécis. Mais pour l’instant je vais accepté votre protection, mais malgré les apparences, je peux être redoutable. Le ciel m’a offert des don uniques, héritage de celle qu’on nommait autrefois Héléna.

Il fut point surpris de sa réaction. Alors il se leva et l'observa un moment.Il ne pu caché son désarrois de l'entendre dire des choses comme celle-là d'un passé qu'elle ne connaissait pas ou en partie seulement. Il l'observa un moment puis s'en désintéressa. Raphael se tourna puis enleva sa chemise, la posant sur un bureau. il fit de-même avec son fourreau et son épée. Il la regarda ensuite.

- Je n'ai ni peur de vous ou de vos dons. Il n'est qu'à vous de me croire ou non. ho! il est vrai que je peux vous comprendre jusqu'a une certaine mesure. Il n'est pas rare de recontrer des pirates qui n'ont aucune parole.Hé bien! Jespère que d'ici la fin de ce court voyage vous me ferai plus confiance que présentement.

Alors le capitaine sur ses derniers mots se mit à terre et commenca une série de pompes.

Une lueure de folie passa dans les yeux de la belle. Il ne savait pas qu'il s'attaquait à une illusionniste! Certe elle n'avait que quelque année d'expérience, mais cela suffisait bien des fois à effrayer quelqu'uns qui se dise si redoutable.

- je connais le doux sentiments de l'amour pirate, plus que bien des gens. J'ai vu le désir de la chair presque identique à la douce passion qu'est l'amour. J'ai vu le désir devenir acte, j'ai vu ce désir devenir une amour sale et impur. J'ai un coeur séparé par la tourmente . J'ai vue un coeur qui aimait deux êtres. Et j'ai vu le trahison, la traitrise, la mort, l'amitié, la jalousie, l'inceste. Je viens d'un monde où tout est secret que tout est illusoire. Mais je suis voyante et je dois des choses que d'autres ne vois pas. Auriez-vous confiance en quelqu'un, dite le noi sincèrement, si de lui vous sentez la haine et le désir fou de la vengeance?

Elle se releva soigneursement, saisit toute ses cartes, et se mit à les brasser délictements, comme si il n'y avait que cela. Il sortit d'une geste unique la carte du futur non lointin.

-la tour s'éffronde messire le pirate. prenez garde! la douleur pourrait être sans retour.

Le pirate ne s'aretta pas dans sa mise en forme au contraire, il n'en mis que plus de coeur pour passé une sorte de frustration.

- Il est vrai que je n'ai pas bonne foi. En fait je suis odieux et sans scrupule. Sans coeur et sans pitier. Je vous prie tout foi de ne pas vous m'éprandre de mes sentiments qui font aujourd'hui partit de mon passé.

Il continuait ses pompes avec vigueure fesant ainsi gonfler ses biceps et triceps. quelques gouttes de sueure perlait son dos.

- Excusez moi mais je n'ai pas a vous écouter dire des blasphèmes et des fabulations sur moi. Alors je vous prierai de vous taire sinon c'est avec mes méthodes que je le ferai!

Il se remit sur ses pieds et observa la dame avec ses poings sur ses hanches. Tout son corps perler de petites gouttes de sueure.

- Me suis-je bien fait comprendre?